Amoureux de sport nature, nous accueillons et accompagnons débutants, expérimentés et compétiteurs, en solo ou en famille, dans la pratique de la course d'orientation sous toutes ses formes : à pied, à VTT, à ski, en raid...
Passionnés et engagés, nos bénévoles vous proposent entrainements encadrés pour les adultes, école de C.O. pour les jeunes.
Affiliés à la Fédération Française de Course d'Orientation (FFCO), nous organisons des compétitions officielles en Essonne.

 

 

Les actus du COPS91

Thierry Georgiou champion du Monde !
Mais pour la remise des médailles nos braves amis italiens ont fait dans l'improvisation.
D'abord dans une salle puis à l'extérieur. Chez les filles l'hymne russe a fini un peu abruptement !
Bon.
Mais pour les garçons les organisateurs après avoir sorti les drapeaux russes, bataves, etc en bleu blanc rouge n'avaient finalement pas de drapeau français sous la main !!
Ca ne s'invente pas.
Au bout du compte, c'est le TAD (en force sur ces WOC et les 5 jours) qui a fourni le drapeau à des dimensions compatibles...
Ma que sera sera
KLOUG

 

3ème étape des cinq jours d'Italie à Lavarone

Nous étions donc à Lavaronne et le départ était donné à 5 minutes à pied en marchant tranquille de notre hôtel.
Le rêve non ?

Cette station de ski accueillait également le championnat du monde longue distance en ce même jour.
Et nous vous l'annonçons aussi (comme le site de la FFCO) : Thierry GEORGIOU remporte un 12ème titre et le troisième titre en longue distance !

gueorgiou_colore
Bravo Thierry 

Revenons aux poulettos.
Après avoir participé à la VIP/média race et en finnissant dans le tréfond du classement, il était nécessaire de se refaire un peu sur un terrain et une distance similaire.
Après la pluie de la veille le temps était mitigé.
Le petit maillot manche longue (pour moi n'était rien de trop).
Mes camarades partant plus tard avaient une chance d'avoir une température plus clémente. 

 

2ème étape des cinq jour d'Italie à Levico Terme

Cette station balnéaire au bord d'un lac accueillait le sprint.

Le parcours en ville nous a plus ou moins séduits, selon les goûts de chacun.
C'est vrai que ce n'était pas Venise.
Deux petits pièges à éviter quand même.
Et des poulettos se sont laissés prendre.

Etape 1 moyenne distance à Asiago
On va vous donner queleues news rapides avant un article plus complet.

C'est le président qui sort un temps canon et fini à une bonne place dans le classement : environ 48'50
Suivi de près par damodile en 51'13. Les deux ont fait un parcours sans faute.
Suis le Kloug avec deux conn..... 19 minutes sur un interposte le tout en 1 h 05
Il a croisé lors de son circuit la belle Hélène qu'il a recalée. Elle fini en 1 h 12 !
heleneasiagopetit
Demain sprint à Levio terme.
marcoasiagopetit 
odileasiagopetit 

Les prévisions météorologiques n’étaient guère optimistes pour ce dernier week-end de juin.
Mais l’envie nous taraudait de connaître les terrains de ce petit coin de France et nous avons décidé in extremis une visite en basse Normandie.
 
Biville, c’est entre La Hague et Flamanville, tout au nord du Cotentin, réputé pour ses paysages.
Marc restait dans son élément, radioactif comme de bien entendu. Le trisecteur sur un panneau de la plage, peint par des écologistes, était là pour nous le rappeler. Bah ! Même pas peur !

 
Format :
Un entraînement le samedi après-midi et une LD (régionale non classée CN) le dimanche matin.
Terrain :
Bande dunaire de quelques km² en bordure de plage. Végétation basse et, le dimanche, quelques zones boisées et quelques marais.
Cartes :
Du jaune et du blanc (sans qu’on ait eu une véritable explication sur cette distinction) et des taches de vert 4. Des courbes, des courbes, des courbes, encore des courbes.
Pour l’entraînement : 5000ème – 2,5 m
Pour la LD : 10 000ème - 2,5 m

Parcours :
Pas très compliqués mais la lecture du terrain exige une attention soutenue. Un peu comme l’Auvergne sans les cheires et sans arbres.
Prestation :
Pour 27 € chacun, nous avons eu, hormis les cartes et les parcours, un hébergement de type AJ et le petit déjeuner. Pour le dîner, on apportait ses salades et de quoi faire le BBQ. Les restes ont fait le déjeuner du dimanche. Petit plus : possibilité de prendre une douche après la LD, les chambres n’étant rendues qu’à 15h00.
Participants :
Les deux clubs de la région, la Haute et la Basse, et quelques exotiques de Bretagne, d’Ile-de-France (nous 2) et même de Lunéville !
Une organisation toute familiale, donc. Une ambiance bon enfant qui fait vraiment plaisir.

 
Et par-dessus tout ça : soleil

Nota préalable pour ceux qui ne connaissent pas (encore) :
L’O’Biwak est un raid sur deux jours qui se court en équipes de 2, en quasi autosuffisance (on ne nous fournit que l’eau): il faut tout porter pour le bivouac, tente, vêtements, réchaud, duvet … A cette époque de l’année, en altitude, la météo peut réserver le pire (l’an dernier, avec annulation de la deuxième journée pour cause de pluie, de vent et de froid) et le meilleur, comme cette année avec une lumière et une chaleur estivales. On part le samedi à 12h30 avec une carte vierge et une feuille de définitions qui permet de reporter sur la carte les postes à trouver selon la technique du carré de report (démonstration à l’entraînement du 27 juin si vous le souhaitez).

Guyonne PETIT, de l’ASMBCO, et moi avions déjà fait équipe sur un O’Biwak et un Bombis, il y a quelques années, avec d’heureux résultats si on met à part un poste mal pointé qui nous avait reléguées dans la liste des PM irrécupérables.

Je fais une totale confiance à Guyonne sur les techniques d’orientation : rigoureuse et constamment attentive, elle ne nous embarquera pas longtemps sur des erreurs. Pour autant, il n’était pas question pour moi de la suivre aveuglément sans m’amuser aussi. L’expérience a même montré que je faisais des reports de postes plus sûrs. C’est donc bien à deux que nous avons établi nos itinéraires interpostes et que nous avons vérifié notre progression sur le terrain. A propos de report des postes, nous avons choisi de les noter au fur et à mesure, tout en marchant, ou bien près de la balise que je pointais. Nous avons vu beaucoup d’équipe adopter la même technique, qui fonctionne aussi sous la pluie puisque c’est ainsi que nous avions procédé l’an dernier avec Marco.